Dimanche 31 octobre, à 17h. à Baratier, salle « La Baratonne »,
la chorale« Le Choeur du Roc » donnera un concert
(participation libre) au profit d’Amnesty .
« Les Nuits d’Amnesty » sont, depuis plusieurs
années, un évènement national ; les deux dernières semaines d’octobre,
dans plus de 150 villes, le monde des artistes met sur le devant de la scène
les Droits Humains et permet à chacun de devenir de véritables acteurs dans
cette lutte pour un monde meilleur et plus juste.
«Le Chœur
du Roc » fête les « Nuits d’Amnesty ».
Dimanche 31 octobre, à 17h. à Baratier, salle « La Baratonne »,
la chorale
« Le Choeur du Roc » donnera un concert
(participation libre) au profit d’Amnesty .
« Les Nuits d’Amnesty » sont, depuis plusieurs
années, un évènement national ; les deux dernières semaines d’octobre,
dans plus de 150 villes, le monde des artistes met sur le devant de la scène
les Droits Humains et permet à chacun de devenir de véritables acteurs dans
cette lutte pour un monde meilleur et plus juste.
Pour faire vivre ce moment de joie et d’espoir, le chef de
chœur, Esther Allan, a mis au point un programme varié des plus séduisants qui
nous fera voyager dans l’espace et le temps.
Nous serons tour à tour émus par d’anciennes chansons
écossaises comme « Bring back my bonnie to me », surpris et charmés
par les cocasses mots d’amour de « Violoncelle », poème de Brice
Homs, fascinés par “Wassilis, l’enfant grec”qui retient le vent pour en faire
des chansons, et, bien souvent, transportés par de magnifiques
negro-spirituals
comme« Freedom » ou « Rock my soul ».
Bref, une belle fin d’après-midi en perspective et une belle
occasion de soutenir Amnesty International.
Le plus beau des mercis à nos généreux donateurs est
certainement ce court extrait d’une
lettre envoyée par un résident britannique, détenu pendant plus de quatre ans à
Guantanamo et finalement libéré : « Je souhaite remercier
Amnesty International. Je pense sincèrement que sans l’intervention immédiate
d’Amnesty sur notre cas au cours des jours extrêmement durs qui ont suivi notre
arrestation en Gambie, nous serions probablement morts maintenant ».